crazytos

Ou quand les maux deviennent des mots.

Samedi 23 août 2008 à 16:47

J'ai encore cette subite et incompréhensible envie d'écrire, sans même avoir de sujet à exposer. Je tente de trouver quelque chose de plausible à décrire, avec un minimum d'intérêt, mais la seule chose qui me vient en tête est lui, lui et encore lui. Les thèmes se  diversifient mais quelque soit le scénario, quelque soit le décor, lui est toujours le personnage principal, comme s'il n'y avait que lui qui avait de l'importante à mes yeux. Mais ce n'est pas les cas ! Lui n'est pas la chose la plus importante à mes yeux ! Lui l'aura peut-être momentanément été, mais tout ce que lui représentait s'est envolé quand tout s'est éclaircie. Je m'entraîne à l'oublier tout comme un athlète s'entraîne pour gagner un grand prix lors d'une compétition importante. Importante pour sa carrière. Et j'ai peur de ne pas entrer sur le podium pour ne m'être pas assez entraîné.

Il est peut-être une médaille, je ne saurais dire laquelle, mais il est probablement une médaille. Mais quand je pense à il je pense aussi à lui. Je pense trop à lui, beaucoup plus qu'à il, alors qu'il serait beaucoup plus logique et intelligent de penser à il. Encore une fois, ma tête se fait avoir pour mon cœur.

 

Et il y a eut l'autre qui a inexplicablement réussi à me séduire. Et voila que je pensais à l'autre plus qu'à lui et encore plus qu'à il. Puis j'ai crut le reconnaître, lui, sans même chercher à le trouver. J'ai crut le voir, lui, enlacer à une autre. Il m'a semblé que c'était lui, je ne pourrais cependant pas le confirmé. J'ai eut mal. Je ne sais pas pour quelle raison, mais j'ai eut mal. Et j'ai arrêté de penser à l'autre, à lui et à il. De toute façon, ce sont tous les mêmes.

 

PS. : On ne m'achète pas avec deux roses.

Samedi 23 août 2008 à 16:46

Ce n'était qu'un rêve. Mais j'ai senti le bonheur m'envahir en m'apercevant de te présence. J'ai senti mon cœur de remplir de joie quand tu m'as pris dans tes bras. J'ai senti l'euphorie prendre place en moi quand tu as avoué que je te manquais. Et j'ai aussi senti le dégout remplacer l'allégresse quand tu as recommencé à m'ignorer. J'ai aussi senti la colère m'inonder quand tu es parti sans me dire au revoir. J'ai aussi senti la rage m'enflammer quand j'ai vu que rien n'avait changé.

 

Et pourtant, ce n'était qu'un rêve.

 

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